Association de protection animale collégiale régie par la loi de 1901, déclarée le 06/06/2012, publiée au journal officiel le 16/06/2012 sous le n°W596004636.
Elle a pour but de venir en aide à tous les lévriers quel que soit leur pays d'origine, mais aussi tout animal en danger ; de les faire soigner, vacciner, stériliser le cas échéant, assurer leur arrivée en France, assurer leur hébergement si besoin, et les faire adopter.
Siège Social chez Evelyne Guérin, 43 rue de la Malcense, 59200 TOURCOING.

Parce que les Galgos et Podencos d'Espagne subissent dans leur pays une violence et une cruauté insupportables, l'équipe bénévole de Terre des Lévriers se bat pour faire de la France une terre d'asile pour ces êtres de douceur et d'amour. Car pour beaucoup d'entre eux, l'adoption à l'étranger constitue leur seule chance de vivre...

En Espagne, des femmes et des hommes luttent au quotidien, sans moyens et seuls contre tous pour recueillir, soigner, aider ces nobles créatures. Terre des Lévriers se doit de soutenir matériellement et moralement ces courageux bénévoles.



Michèle Striffler dépose une déclaration contre les mauvais traitements infligés aux lévriers

La déclaration écrite de Michelle Striffler, Euro adjoint pour la France au Parlement européen, a été signée que par 220 autres adjoint de l'euro et ce n'est pas assez! Cela signifie que seulement 30% de nos parlementaires européens sont préoccupés par la torture et maltraitance des Galgos, mais que 70% se foute de ça! Et c'est une grande honte! Mais nous continuerons, une bataille est perdue mais pas encore la guerre!!The written declaration from Michelle Striffler, Euro deputy for France in the European Parliament, has only been signed by 220 other Euro deputy´s and that´s not enough! This means that only 30% from our European Parliament people is concerned about the torturing and mistreating from the Galgos and Greys in Europe but that 70% does not give a damn about this!!! And that is a big shame! But we will continue, a battle is lost but not yet the war!!!!!
Pétition à signer pour que cela s’arrête
http://www.30millionsdamis.fr/agir-pour-les-animaux/petitions/signer-petition/sauvons-les-galgos-18.html

Antony Blanchard - Cause Animale Nord


http://www.politique-animaux.fr/animaux-de-compagnie/michele-striffler-depose-une-declaration-contre-les-mauvais-traitements-inflige


L'eurodéputée Michèle Striffler a déposé une déclaration écrite pour "l'arrêt immédiat de la torture et des mauvais traitements infligés aux lévriers en Europe" :
0006/2013
Déclaration écrite, au titre de l'article 123 du règlement du Parlement européen, sur
l'arrêt immédiat de la torture et des mauvais traitements infligés aux lévriers en Europe
1. Les lévriers sont utilisés comme des instruments de chasse et de compétition dans de nombreux États de l'Union européenne et subissent des tortures de la part de leurs propriétaires lorsque ceux-ci les jugent inadaptés à ces pratiques.

2. Les tortures infligées aux lévriers peuvent revêtir plusieurs formes allant de l'abandon jusqu'à la pendaison entraînant inévitablement leur mort.


3. Ce phénomène se trouve amplifié par le manque de contrôle des États membres sur le commerce et le trafic des lévriers en Europe.
4. En Europe, les règles concernant l'élevage et la détention de lévriers sont disparates et leur application reste largement déficiente.
5. Les lévriers sont des animaux domestiques et doivent bénéficier d'une protection adéquate.
6. La Commission est dès lors invitée à faire tout ce qui est en son pouvoir pour veiller à ce que la législation de l'Union européenne relative au bien-être des animaux soit appliquée correctement et à recommander des mesures concrètes pour que les actes de cruauté infligés aux lévriers en Europe cessent immédiatement.

7. La présente déclaration, accompagnée du nom des signataires, est transmise à la Commission.
Lorsqu'une déclaration recueille les signatures de la majorité des membres qui le composent, elle est publiée au procès-verbal avec le nom de ses signataires et transmise aux destinataires, sans être toutefois contraignante pour le Parlement.